Pari sur l'enfance II Association créée pour soutenir les pouponnières et les enfants mendiants II Faire un don

Le phénomène de la mendicité se répand de plus en plus dans le monde. Nombreux sont ces jeunes entre 5 et 15 ans qui errent dans les rues.
L’impact est malheureusement des plus conséquents : mauvaises conditions de vie, faim, éducation compromise, avenir probablement non prometteur, etc…
Au Sénégal, pays dans lequel se feront les premières actions de Pari sur l’enfance, la majorité des enfants mendiants se trouvent dans des sites appelés « daaras ». Les enfants y sont envoyés par leurs parents pour une éducation religieuse.

Il existe trois catégories de « daaras » et Pari sur l’enfance compte aider ceux des 2 dernières.

Catégorie 1 : Les « daaras » structurés et financièrement stables

Ce sont les pensionnats qui reçoivent une rémunération pour l’éducation et la prise en charge des enfants. Ces « daaras » sont financièrement stables et les enfants qui y sont ne mendient pas.

Catégorie 2 : Les « daaras » non structurés et peu stables sur le plan financier

Ce sont les pensionnats qui ne reçoivent pas (ou presque pas) de rémunération et prennent en charge la totalité des besoins des enfants. Ces derniers sont, pour la quasi-totalité, issus de familles modestes.
Les enfants ne mendient pas mais leurs conditions de vie ne sont pas simples.
Pour faire face aux difficultés, les gérants des « daaras » comptent sur leurs propres moyens. Il leur arrive parfois de bénéficier d’aides.

Catégorie 3 : Les « daaras » non structurés et non stables sur le plan financier

Les gérants de ces « daaras » reçoivent chez eux des enfants envoyés par leurs parents. Ces derniers, aux revenus modestes ou nuls, ne donnent pas de compensation pour l’éducation de leurs enfants.
Les gérants prennent donc en charge la totalité des besoins.
Etant donné que ces « daaras » sont dans la maison des gérants, ils ne sont pas vraiment connus. Ainsi, la majorité d’entre eux ne reçoivent pas d’aides. Et n’ayant pas les moyens nécessaires pour subvenir aux besoins des enfants, la plupart des responsables envoient ces derniers mendier.

Pari sur l’enfance compte apporter son soutien aux « daaras » des deux dernières catégories. Un « daara » a été choisi dans la catégorie 2 et trois autres dans la catégorie 3.

 

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